Matthew Ward – L’Université de l’Âge d’Or

 

"Mes petits-enfants,
sachez que tout est impermanent,
hormis le changement."
Bouddha

En un an d’existence, la mission de ce blog — partager des "outils" permettant de vivre plus consciemment la grande transition à laquelle nous avons tous choisi de participer — a quelque peu évolué.

Tout a commencé lorsque je me suis aperçue, en traduisant les messages de Matthew Ward, des très nombreuses références à des messages précédents qui rendaient leur traduction indispensable pour suivre le fil de la pensée de l’auteur. Mais j’ai très vite été dépassée, je zigzaguais de l’un à l’autre, un vrai labyrinthe dont je peinais à trouver le sens !

C’est alors que j’ai eu envie de tout relire depuis le début. Et là, d’un coup, à la lumière des messages précédents, chaque message prenait un sens nouveau. Ce n’étaient plus des messages intéressants en eux-mêmes mais épars. Chronologiquement commençait à se déployer sous mes yeux émerveillés, telle la somptueuse Tapisserie de l’Apocalypse d’Angers, une grande fresque de l’histoire de notre monde et de notre humanité.

Par ailleurs, quand je lis le message du 5 juin 2004 sur les dessous du onze septembre... j’ai l’impression d’être dans un roman d’espionnage qui me tient en haleine jusqu’à la fin !

Fidèle à l’esprit de ce blog, j’ai donc décidé de vous faire partager mon ardeur et mon enthousiasme pour les transmissions de Matthew et d’en faire l’axe central du blog. En effet, quel "outil" plus merveilleux que ses précieux messages, n’est-ce pas ?

J’ai longtemps cherché à définir ce corpus, sans toutefois parvenir à une réponse satisfaisante correspondant à ce que je ressentais. M’est venue tout d’abord l’idée d’une encyclopédie... rapidement abandonnée car pas assez dynamique. Une encyclopédie on la lit, mais elle n’est pas à proprement parler un outil de transformation de nous-mêmes ni du monde.

Et puis il y a quelques semaines, un matin dès mon réveil, le mot "Université" s’est imposé dans mon esprit. Bon sang ! Mais c’est bien sûr ! À l’université on apprend et on se transforme, on acquiert des compétences qui nous font grandir et des outils qui nous permettent ensuite d’agir sur notre monde ! J’entre à l’université et chaque message représente le programme d’une classe après l’autre. J’espère que je finirai par obtenir mon diplôme !

Pour enrichir mes connaissances et ma propre réflexion, j’ai souvent besoin d’aller chercher des compléments d’infos sur Internet. Vous les trouvez en liens hypertextes ou en notes de bas de page, ainsi que quelques autres, fruit des mille et une associations d’idées qui surgissent en permanence, telles des billes de flipper, dans mon cerveau HPI !

Au programme de cette Université nous trouverons, pêle-mêle : des cours de physique, de sciences naturelles, de biologie, de naturopathie et de médecine ; de sciences politiques et géopolitiques ; d’économie ; d’écologie ; de sociologie ; d’astrophysique ; d’histoire des civilisations sur et hors planète ...

Ainsi, nous ne pourrons plus jamais voir et entendre les choses
en les prenant au premier degré ;
toujours nous aurons cette faculté de "double-vue",
de relecture de tout ce que nous voyons et savons,
acquise grâce aux transmissions de Matthew.

Je vous propose également de nombreuses Compilations classées par thèmes. En préparation : Pape François, Obama, 9/11, homosexualité, Kennedy, Sosies, Trump, Poutine, OVNIs...

Sachez toutefois que créer et alimenter le programme de cette université est une œuvre de longue haleine, que je compléterai progressivement, en laissant toujours la priorité à mon travail de re-construction et de re-naissance. Merci de votre fraternelle compréhension.

Alors... embarquons ensemble pour ce voyage au long cours les Ami(e)s.

Larguons les amarres, c’est parti !

@nne

 

Première année

Deuxième année

 

 

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… Nous sommes entrés dans une de ces crises périodiques de l’homme,
où l’homme cherche dans l’angoisse à retenir les traits d’un visage qui se défait
ou à se reconnaître figure d’homme dans le nouveau visage qui lui vient.
Il lui faut alors choisir vigoureusement, dans la confusion de toutes les valeurs,
ce que c’est que d’être homme, et homme de son temps,
puis le vouloir hardiment, en alliant imagination et fidélité.
Emmanuel
Mounier, Traité du Caractère